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quarta-feira, 31 de março de 2010

Teus olhos castanhos



Francisco José foi o cantor romântico por excelência, nos meus tempos de infância. Como é habitual nestas circunstâncias havia sempre um rival para dividir, neste caso era o Rui de Mascarenhas, que dividiam os adeptos.

Lembro de miúdo cantar esta canção e a Estrela da minha vida, que gostava muito de interpretar e dedicar à minha mãe.

Francisco José era alentejano de Évora, cidade onde nascera em 1924, (era irmão do cientista Galopim de Carvalho).

Este olhos castanho são o seu tema de arranque para o êxito, que gravou em 1951.

Uma grande parte da sua carreira decorreu no Brasil.

Veio a falecer em 1988, com 64 anos.


Os meus agradecimentos a olivaisblue

sábado, 27 de março de 2010

Aimer à perdre la raison

Aimer à perdre la raison
Aimer à n'en savoir que dire
A n'avoir que toi d'horizon
Et ne connaître de saisons
Que par la douleur du partir
Aimer à perdre la raison

Ah c'est toujours toi que l'on blesse
C'est toujours ton miroir brisé
Mon pauvre bonheur, ma faiblesse
Toi qu'on insulte et qu'on délaisse
Dans toute chair martyrisée

Aimer à perdre la raison
Aimer à n'en savoir que dire
A n'avoir que toi d'horizon
Et ne connaître de saisons
Que par la douleur du partir
Aimer à perdre la raison

La faim, la fatigue et le froid
Toutes les misères du monde
C'est par mon amour que j'y crois
En elle je porte ma croix
Et de leurs nuits ma nuit se fonde

Aimer à perdre la raison
Aimer à n'en savoir que dire
A n'avoir que toi d'horizon
Et ne connaître de saisons
Que par la douleur du partir
Aimer à perdre la raison

domingo, 21 de março de 2010

Chant des Partisans

O Chant des Partisans foi a canção mais popular da França Livre, durante a II Guerra Mundial.

A peça foi escrita e colocada em Londres em 1943 Maurice Druon escreveu a letra em francês. Foi cantada por Anna Marly, transmitido pela BBC e aprovado pelo maquis.

Depois da guerra, Chant des Partisans era tão popular,que foi proposto para hino nacional para a França. Tornou-se por um curto enquanto o hino oficial nacional, ao lado do oficial de La Marseillaise.

Marc Ogeret nasceu em 1932 em Paris e começou a cantar canções de Leo Ferrer e depois canções da resistência como esta.

É também um grande sindicalista e contribuiu grandemente para os direitos dos artistas intérpretes ou executantes.



Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines ?
Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu'on enchaîne ?
Ohé partisans, ouvriers et paysans, c'est l'alarme !
Ce soir l'ennemi connaîtra le prix du sang et des larmes.
Montez de la mine, descendez des collines, camarades,
Sortez de la paille les fusils, la mitraille, les grenades ;
Ohé les tueurs, à la balle et au couteau tuez vite !
Ohé saboteur, attention à ton fardeau, dynamite ...
C'est nous qui brisons les barreaux des prisons, pour nos frères,
La haine à nos trousses, et la faim qui nous pousse, la misère.
Il y a des pays où les gens au creux du lit font des rêves
Ici, nous, vois-tu, nous on marche et nous on tue, nous on crève.
Ici chacun sait ce qu'il veut, ce qu'il fait, quand il passe ;
Ami, si tu tombes, un ami sort de l'ombre à ta place.
Demain du sang noir séchera au grand soleil sur les routes,
Sifflez, compagnons, dans la nuit la liberté vous écoute.


quarta-feira, 17 de março de 2010

Que serais-je sans toi

O cantor Jean Ferrat, um dos símbolos da música de protesto na França, morreu do dia 13 de Março deste ano. aos 79 anos no departamento de Ardèches, no sul do país, vítima de uma longa doença.

Autor de mais de 200 canções, Ferrat era um dos grandes nomes da esquerda do país, especialmente do Partido Comunista Francês (PCF), mesmo antes de ganhar fama, em 1964, com o disco "La Montagne".

Entre seus trabalhos mais importantes estão também "Nuit et Brouillard", mesmo título em francês do filme "Noite e Neblina" (1955), e "Aimer à Perdre la Raison".

Batizado pelo público como "o cantor do PCF", Ferrat sempre lembrava que não tinha a carteira do partido e que era apenas um simpatizante.

Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre
Que serais-je sans toi qu'un cœur au bois dormant
Que cette heure arrêtée au cadran de la montre
Que serais-je sans toi que ce balbutiement
J'ai tout appris de toi sur les choses humaines
Et j'ai vu désormais le monde à ta façon
J'ai tout appris de toi comme on boit aux fontaines
Comme on lit dans le ciel les étoiles lointaines
Comme au passant qui chante on reprend sa chanson
J'ai tout appris de toi jusqu'au sens du frisson
Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre
Que serais-je sans toi qu'un cœur au bois dormant
Que cette heure arrêtée au cadran de la montre
Que serais-je sans toi que ce balbutiement
J'ai tout appris de toi pour ce qui me concerne
Qu'il fait jour à midi qu'un ciel peut être bleu
Que le bonheur n'est pas un quinquet de taverne
Tu m'as pris par la main dans cet enfer moderne
Où l'homme ne sait plus ce que c'est qu'être deux
Tu m'as pris par la main comme un amant heureux
Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre
Que serais-je sans toi qu'un cœur au bois dormant
Que cette heure arrêtée au cadran de la montre
Que serais-je sans toi que ce balbutiement
Qui parle de bonheur a souvent les yeux tristes
N'est-ce pas un sanglot de la déconvenue
Une corde brisée aux doigts du guitariste
Et pourtant je vous dis que le bonheur existe
Ailleurs que dans le rêve ailleurs que dans les nues
Terre terre voici ses rades inconnues
Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre
Que serais-je sans toi qu'un cœur au bois dormant
Que cette heure arrêtée au cadran de la montre
Que serais-je sans toi que ce balbutiement

terça-feira, 2 de março de 2010

Quero beijar-te as mãos

Anisio Silva nasceu em 29 de julho de 1920,morreu em 18 de fevereiro de 1989 de enfarto

Quero beijar-te as mãos minha querida
Senta junto de mim, vem por favor
És o maior elevo da minha vida
És o reflorir do meu amor

Sinto nesta ansiedade
Que minha alma invade
Que me faz sofrer
A luz de um divinal querer
Eterna glória de viver

Se tu me quiseres tanto
Quanto eu que vivo para te adorar
Será um mudo de esplendor
O nosso amor