Francisco José foi o cantor romântico por excelência, nos meus tempos de infância. Como é habitual nestas circunstâncias havia sempre um rival para dividir, neste caso era o Rui de Mascarenhas, que dividiam os adeptos.
Lembro de miúdo cantar esta canção e a Estrela da minha vida, que gostava muito de interpretar e dedicar à minha mãe.
Francisco José era alentejano de Évora, cidade onde nascera em 1924, (era irmão do cientista Galopim de Carvalho).
Este olhos castanho são o seu tema de arranque para o êxito, que gravou em 1951.
Uma grande parte da sua carreira decorreu no Brasil.
Aimer à perdre la raison Aimer à n'en savoir que dire A n'avoir que toi d'horizon Et ne connaître de saisons Que par la douleur du partir Aimer à perdre la raison
Ah c'est toujours toi que l'on blesse C'est toujours ton miroir brisé Mon pauvre bonheur, ma faiblesse Toi qu'on insulte et qu'on délaisse Dans toute chair martyrisée
Aimer à perdre la raison Aimer à n'en savoir que dire A n'avoir que toi d'horizon Et ne connaître de saisons Que par la douleur du partir Aimer à perdre la raison
La faim, la fatigue et le froid Toutes les misères du monde C'est par mon amour que j'y crois En elle je porte ma croix Et de leurs nuits ma nuit se fonde
Aimer à perdre la raison Aimer à n'en savoir que dire A n'avoir que toi d'horizon Et ne connaître de saisons Que par la douleur du partir Aimer à perdre la raison
O Chant des Partisans foi a canção mais popular da França Livre, durante a II Guerra Mundial.
A peça foi escrita e colocada em Londres em 1943 Maurice Druon escreveu a letra em francês. Foi cantada por Anna Marly, transmitido pela BBC e aprovado pelo maquis.
Depois da guerra, Chant des Partisans era tão popular,que foi proposto para hino nacional para a França. Tornou-se por um curto enquanto o hino oficial nacional, ao lado do oficial de La Marseillaise.
Marc Ogeret nasceu em 1932 em Paris e começou a cantar canções de Leo Ferrer e depois canções da resistência como esta.
É também um grande sindicalista e contribuiu grandemente para os direitos dos artistas intérpretes ou executantes.
Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines ? Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu'on enchaîne ? Ohé partisans, ouvriers et paysans, c'est l'alarme ! Ce soir l'ennemi connaîtra le prix du sang et des larmes. Montez de la mine, descendez des collines, camarades, Sortez de la paille les fusils, la mitraille, les grenades ; Ohé les tueurs, à la balle et au couteau tuez vite ! Ohé saboteur, attention à ton fardeau, dynamite ... C'est nous qui brisons les barreaux des prisons, pour nos frères, La haine à nos trousses, et la faim qui nous pousse, la misère. Il y a des pays où les gens au creux du lit font des rêves Ici, nous, vois-tu, nous on marche et nous on tue, nous on crève. Ici chacun sait ce qu'il veut, ce qu'il fait, quand il passe ; Ami, si tu tombes, un ami sort de l'ombre à ta place. Demain du sang noir séchera au grand soleil sur les routes, Sifflez, compagnons, dans la nuit la liberté vous écoute.
O cantor Jean Ferrat, um dos símbolos da música de protesto na França, morreu do dia 13 de Março deste ano. aos 79 anos no departamento de Ardèches, no sul do país, vítima de uma longa doença.
Autor de mais de 200 canções, Ferrat era um dos grandes nomes da esquerda do país, especialmente do Partido Comunista Francês (PCF), mesmo antes de ganhar fama, em 1964, com o disco "La Montagne".
Entre seus trabalhos mais importantes estão também "Nuit et Brouillard", mesmo título em francês do filme "Noite e Neblina" (1955), e "Aimer à Perdre la Raison".
Batizado pelo público como "o cantor do PCF", Ferrat sempre lembrava que não tinha a carteira do partido e que era apenas um simpatizante.
Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre Que serais-je sans toi qu'un cœur au bois dormant Que cette heure arrêtée au cadran de la montre Que serais-je sans toi que ce balbutiement J'ai tout appris de toi sur les choses humaines Et j'ai vu désormais le monde à ta façon J'ai tout appris de toi comme on boit aux fontaines Comme on lit dans le ciel les étoiles lointaines Comme au passant qui chante on reprend sa chanson J'ai tout appris de toi jusqu'au sens du frisson Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre Que serais-je sans toi qu'un cœur au bois dormant Que cette heure arrêtée au cadran de la montre Que serais-je sans toi que ce balbutiement J'ai tout appris de toi pour ce qui me concerne Qu'il fait jour à midi qu'un ciel peut être bleu Que le bonheur n'est pas un quinquet de taverne Tu m'as pris par la main dans cet enfer moderne Où l'homme ne sait plus ce que c'est qu'être deux Tu m'as pris par la main comme un amant heureux Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre Que serais-je sans toi qu'un cœur au bois dormant Que cette heure arrêtée au cadran de la montre Que serais-je sans toi que ce balbutiement Qui parle de bonheur a souvent les yeux tristes N'est-ce pas un sanglot de la déconvenue Une corde brisée aux doigts du guitariste Et pourtant je vous dis que le bonheur existe Ailleurs que dans le rêve ailleurs que dans les nues Terre terre voici ses rades inconnues Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre Que serais-je sans toi qu'un cœur au bois dormant Que cette heure arrêtée au cadran de la montre Que serais-je sans toi que ce balbutiement